Traduction avec introduction, notes et vocabulaire de cette légende du Mahâbhârata (dont c'est la première édition en Français). Elle est illustrée de bois dessinés et gravés par Andrée Karpélès dans le style art déco. Publié chez Bossard en 1920, le livre constitue le premier volume de la collection «Les Classiques de l'Orient», publiée sous le patronage de «l'Association française des Amis de l'Orient» et sous la direction de Victor Goloubew. Aux moins douze livres verront le jour, pour la plupart traduits du Sanskrit, jusqu'en 1927[1].
Un volume in-8 dans une élégante demi-reliure en maroquin havane ; Dos à faux nerfs ornés d'encadrements et du titre dorés. Plats jaspés vert et or. Tranche supérieure lisse et dorée. Gardes en papier à la cuve jaspé. Couverture d'origine conservée (y compris le dos). 151 pages. Papier vélin uniformément passé, sinon bel exemplaire (1 des 1500 du tirage limité et justifié sur vélin bouffant des papeteries de Papault, après 15 sur Tycoon et 150 sur Vélin d'Arches).